samedi 29 juin 2013

Saint Etienne : RMC (7) Ruse Mesquine Commerciale : le pigeon ou la vache à lait ?


Carton rouge !

Je suis un usager "occasionnel" (je n'avais pas encore ressenti à ce point la connotation péjorative et méprisante  attribuée à ce terme ) des transports en commun stéphanois : la STAS













Leurs tarifs n'ont apparemment pas augmenté depuis janvier 2013.
Effectivement ma carte de 100 unités est toujours, au 30 juin au tarif de 15,80 euros.

Des unités me sont décomptées à chaque voyage, selon un tarif "heures creuses" ou "heures pleines" de type EDF

Pourtant j'ai constaté avant hier qu'on ne m'avait pas, en heures pleines, décompté 7 unités comme je le prévoyais mais 8 !

Le chauffeur que j'ai interrogé m'a répondu qu' "ils" avaient du procéder à des modifications.

Je suis donc allé voir sur le site internet de la STAS : les heures pleines sont, effectivement, désormais "passibles" d'un prélèvement de 8 unités, quant aux heures creuses, "on" est passé de 5 à 7 (ancien "tarif" des heures pleines)


L'augmentation, qui parait anodine en unités, est en fait, de 14,28 % en "heures pleines" et de 40% en "heures creuses" (27,14 % en moyenne) 


Comment peut-on justifier une telle augmentation des tarifs de transports publics alors que l'indice officiel de l’inflation est de 0.8% de mai 2012 à mai 2013 !? (1)
On ne va pas organiser la future coupe de monde de football que je sache ! (2)


"OùRA" (3) ! ma carte reste au même prix !

En réalité c'est comme si ma carte en était passée de 15,80 à 20 euros, le litre de gazole, (au "tarif" des heures creuses), à 2 euros ! et que les étuis de 9 mouchoirs n'en contenaient plus que 6 !

Je cherche donc désespérément quand cette décision a bien pu être prise et annoncée (si elle ne la pas été (4) c'est "pigeon" !!), car je voudrais quand même bien savoir de quel bois était la langue qui a pu annoncer ça : par un "pas le choix" ? ; quand même pas par l'avantage d'un "lissage" des tarifs ? (là, c'est, de toute façon "vache à lait" ... de luxe ).

Merci de m'avoir lu jusqu'au bout et pardon pour mon emportement et la piètre qualité des photos.

(1) Consulté le site INSEE : l'image du Bus est représentée pour indiquer quels prix sont enregistrés chaque mois pour le calcul de l'indice.
(2) Attention ! on va bientôt être "tous Brésiliens" si ça continue.
(3) Nom de la carte multitransports de la STAS
(4) ...et peut alors s'assimiler à la fraude consistant à ne pas valider sa carte en montant dans le bus, non ?! ; à moins que ce ne soit prévu au "contrat", mais si c'est çà, ce ne peut être qu' une clause abusive, non ??!!.....

Ai adressé un mail à la STAS pour lui poser ces questions ; sans réponse demain, je lui adresserai le lien de ce blog en lui précisant que 1200 pages en ont été vues le mois dernier.


vendredi 28 juin 2013

Proverbes et expressions (13) : " Le port du casque...

 est obligatoire" 

"Fumer tue !"
L'interdiction de fumer la plus grande du monde 

Mosquée Istiqlal Jakarta (Indonésie) 

mercredi 26 juin 2013

Les quais de Sunda Kelapa (port ancien de jakarta)

Ce port, c'est d'abord l'atmosphère blafarde, surchauffée et grise des latitudes tropicales
c'est aussi l' intense, lente et puissante activité de ces dockers, qui ne sont pas dotés des outils utilisés dans les ports industriels
Ces bateaux ce sont les "pinisis" fabriqués au pays bugi (Sulawesi). Construits en bois et sans plans, ils  sillonnent toujours les mers de la région, depuis l'âge d'or du commerce des épices
Leur beauté tient peut être à cette grandeur décadente qui sourit encore a travers ses oripeaux d'un autre âge

mardi 25 juin 2013

Proverbes et expressions (12) : "Avoir le pied marin"

A Pauline
à la montée...
...comme à la descente !
sur les quais de Sunda Kelapa (Jakarta Indonésie)

(Prochaine parution (promo à l'oeil !) : les quais de Sunda Kelapa)

lundi 24 juin 2013

Chronique de la "POSTE modernité"

Proverbes et expressions (14) : "On n'arrête pas le progrès "


Je me suis rendu récemment par deux fois à mon bureau de Poste, qui ne cesse de se moderniser : désormais on s'enquiert immédiatement du but de ma visite.
Autrefois, c’était souvent, arrivé au guichet, que la question vous était posée, et pour peu que vous ayiez omis de lever la tête pour constater que le guichet où vous patientiez était spécialisé dans toutes sortes d'autres opérations que celle qui vous préoccupait, vous deviez alors rejoindre la bonne queue.

Il y a peu de temps, donc, je n'avais que des timbres à acheter et on m'a invité à me servir à des présentoirs où pendent maintenant les carnets, pour ensuite me rendre à un guichet pour effectuer mon règlement . Là, je pensais avoir gagné du temps et m'en félicitais, mais je ne savais pas, qu'en même temps que je prenais mon carnet de timbres, je me prenais aussi la honte !
En effet, le lendemain, arrivé à la caisse de mon supermarché je déclenchai une alarme ; après vérification du contenu de mes sacs, l'alarme se déclencha à nouveau ; un vigile de sécurité fut alors appelé qui approfondit la fouille et découvrit... mon carnet de timbres dont l'enveloppe plastique contenait un antivol. Merci La Post'modernité !
Plus récemment, je me rendis à nouveau à mon bureau pour envoyer une lettre recommandée ; une nouvelle fois je n'eus pas à attendre car un jeune employé en uniforme s'étant enquis de ma demande et saisi de ma lettre, il me fit remplir l'imprimé idoine, puis, ayant pesé ma lettre à une première machine et m'ayant demandé de régler le montant exigé, il prit le billet que je lui tendis, l'introduisit dans une deuxième machine qui transforma mon billet en pièces. Il introduisit alors celles nécessaires à mon règlement dans la première machine.
Interloqué, mais repoussant à plus tard le calcul du gain de modernité, je demandais alors si le distributeur de billets extérieur indiquait les coupures que l'on retirait, car je souhaitais avoir un billet de 50 euros. On me répondit que non et que je devais donc prendre un ticket pour accéder à un guichet . Y étant parvenu on s'excusa : on ne pratiquait pas l'échange de billets et ma carte bleue n'étant pas de la Poste, je ne pouvais pas "acheter" de billets de 50 !
La sécurité et l'économie d'abord !, "facteurs" de bien des colères !

samedi 22 juin 2013

Proverbes et expressions (11) : "Avoir les dents longues"

"Avoir les dents longues"

Librement Inspiré  par le climat enregistré sous abri, ces derniers temps, aux sièges de nos partis à Paris)

vendredi 21 juin 2013

Firminy (42) a fait la fête à la Musique

Face à l'église appelouse,
Du rock avec Daddy'O Velvet
du son, du feu, du cœur, de l’énergie, de la grande émotion, de la rébellion, de la fraternité, son rire... avec :


du très grand Jacques !
mais, toi, qui a quelque chose à dire, pourquoi acceptes-tu qu'ils ne nous laissent l'entendre vraiment que lorsque tu "enfourches" ton accordéon ?

jeudi 20 juin 2013

Proverbes et expressions (10) : "Il n'y a pas...

... de sots métiers"

port de Sunda Kelapa Jakarta (Java.Indonésie)
"Les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés"
Yogyakarta, prononcer ????... (pour ceux qui suivent), Java . Indonésie

mercredi 19 juin 2013

lundi 17 juin 2013

Borobudur (Ile de Java) : ou comment faire sourire la pierre ?

Borobudur (Extrait de mon journal) :

Ce mandala géant, je le croyais quasiment vide d'images et de représentations de la philosophie bouddhiste si ce n'est les stupas et statues qui couronnent le sommet du "temple", que j'avais aperçues, à la Télé, (lors d'une "Chasse au Trésor" des années 80, avec Philippe de Dieuleveult !).

Je vous présente quelques unes des près de 100 photos que j'y ai recueillies en gravissant le 6 premiers étages de ce cône architectural dont l'ascension (pré ?) figure  la recherche de la sérénité qui vous amènera au nirvana.
Stupeur d'imaginer que chacun de ces bas relief se compose de dominos qui s’emboîtent parfaitement pour restituer "l'idée" de l'ensemble du "dessin" 
A certains moments  votre esprit se surprend à entendre le cliquetis métallique des milliers de poinçons des sculpteurs...
...qui font danser ou sourire la pierre pour une bien belle éternité (Unesco indispensable !)
Mais pourquoi, les visiteurs ne regardent ils même pas cette beauté fabuleuse offerte à leurs yeux et ne conçoivent ils la photo que comme une énième mise en image d'eux mêmes dans un nouveau décor ?