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vendredi 4 décembre 2015
Retour sur image (3)
dimanche 3 février 2013
Pas de Lauzun ! ....mais de la beauté !
A Claude Y.
(pour "cinq méditations sur la beauté de François Cheng)
L'eau coulait en cascade dans le sens de la pente. Le vent la refoulait violemment en sens contraire et la projetait au delà du mur et du rebord de cime de la cascade. Mêlées au froid de l'instant, les goûtes se figeaient sur chaque branche, feuille, et brindille.
Lumière du jour, banale, rendue étincelante
Le beau naissait d'un souffle, d'un temps, de rencontres.
Saisir l'instant suspendu à la branche
Éphémère du phénomène.
Contemplation.
dimanche 14 octobre 2012
Suites et détails à quelques messages précédents
mémés éphémères
20 ans du musées de la sorcellerie
Images qui furent sans image
Devantures etc.
Bourdeaux porté aux nues
Libellés :
ciels,
Ella et Pitr,
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mémés,
Musée de la sorcellerie,
Pas de Lauzun
lundi 20 août 2012
Voici l' image, aperçue peut-être, sous les mots ..?
et Laura (blog : Jardin d'ombres ; lien ci-contre).
Mais que cache ma fascination hypnotique pour ces lignes ?
mardi 7 août 2012
Image...sans image (1)
Pas d'image ! pas de panique ! Pas de lauzun.
Un champ, aux frontières courbes, posé, alangui, sur son pan de colline ; la moisson a été faite ; les restes de coupe, dressés, picotent le regard comme autant de minuscules éclats du soleil rasant. Les alignements des tiges de céréales coupées, ondulent en parallèles satisfaites sur les pentes, au grès des vagues du relief que le semeur a suivies, à l'automne dernier. La terre qu'ils épousent révèle la profondeur de ses lignes sombres que soulignent parfois timidement, d'un trait vert, de courageuses herbes dites folles. Parfois même, un tournesol nain,quelques mauves rescapées ou vagabondes, des poignées de céréales épargnées par la hâte du moissoneur mécanique, se prennent à rêver d'une lente et laborieuse recolinisation.
Le regard se pose et respire la senteur acre de la paille mouillée.
Un champ, aux frontières courbes, posé, alangui, sur son pan de colline ; la moisson a été faite ; les restes de coupe, dressés, picotent le regard comme autant de minuscules éclats du soleil rasant. Les alignements des tiges de céréales coupées, ondulent en parallèles satisfaites sur les pentes, au grès des vagues du relief que le semeur a suivies, à l'automne dernier. La terre qu'ils épousent révèle la profondeur de ses lignes sombres que soulignent parfois timidement, d'un trait vert, de courageuses herbes dites folles. Parfois même, un tournesol nain,quelques mauves rescapées ou vagabondes, des poignées de céréales épargnées par la hâte du moissoneur mécanique, se prennent à rêver d'une lente et laborieuse recolinisation.
Le regard se pose et respire la senteur acre de la paille mouillée.
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