l'esplanade largement ouverte devant la gare de Châteaucreux où l'effort de reconversion se manifeste, comme en d'autres points de la ville, avec un volontarisme presque poignant, comme s'il y avait dans le "design" un pouvoir de rédemption(pourtant cette esplanade porte toujours le nom de Square de Stalingrad, la toponymie semblant refuser le mouvement vers l'avant, la glissade vers l'avenir radieux que se promettent les classes moyennes, étant comme retenue par la pesanteur de noms évoquant plus qu'ailleurs la guerre ou le travail *).
* : Désireux d'illustrer l'affirmation, Mon oeil s'est rendu Boulevard Karl Marx et rue des Martyrs de Vingré (14/18 ) : aucune plaque ! : le dernier bulletin municipal stéphanois ne faisait-il pas récemment état de la proposition des élus du Front National, de débaptiser, entre autres, le boulevard Karl Marx ?, auraient ils le front d'envoyer des commandos anti plaques ? à quoi une amie me fit remarquer que l'on pourrait alors peut être commencer - France entière - par toutes les avenues, boulevards, places et autres rues et impasses "Thiers" ! (NDMO)
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lundi 29 juin 2015
mardi 11 novembre 2014
11 novembre : Nouvelles du front
Vision
de Jeanne d'Arc
L'ennemi n'est plus la noble Angleterre
C'est du Germain qu'il faut purger la terre
Lyon, le 4
août 1915
Cher Jules S'il était vrai que la fin de la guerre arrive avant votre permission, mais nous en doutons ; ainsi dimanche il devait y avoir une manifestation contre une campagne d'hiver par les femmes, mais les autorités ont pris les devants par la voie des journaux en faisant annoncé(!) que toute manifestation serait antipatriotique et que l'on agirait ...
mardi 28 octobre 2014
C'est un modeste !
A Maurice,
(Françoise, Philippe, et Jean Charles)
Oui, Georges Brassens aurait pu lui dédier sa chanson.
Il a entrepris depuis trente ans de photographier tous les monuments aux morts de la guerre de 14-18, (celle que préférait Brassens), et il en a, à ce jour photographié plus de 20 000 !
Cette passion collectionneuse, il la doit a celle qu'il a toujours eu pour la photo ( je me souviens d'expos sur les zones ou friches industrielles, sur les lumières de sa ville, Saint Étienne), et ce week-end d'octobre 2014, il a répondu à une sollicitation d'amis, habitant aujourd'hui la Saône et Loire, pour une expo commémorant le centenaire du début de la "der des der".
Il a donc décidé de centrer son expo sur les monuments de la Saône et Loire,
comme les bas reliefs de Bourdelle à Montceau les mines
et d'une humanité remarquable.
Mais comment Raymond Depardon, a-t-il pu affirmer à la "Grande table" de "France Culture" au mois d'août dernier, que s'il avait fait appel au "peuple" pour son exposition aux Rencontres d'Arles sur les Monuments aux morts c'est parce qu'il "n'y avait pas en France quelqu'un qui ait photographié en dehors de sa région " ces monuments de mémoire ?
A cela Maurice répond "mais c'est pas la même chose !"
Respect ! Maurice ! mais quand même !
Pour terminer : pour voir ça, Depardon devra s’intéresser à la chose, au delà de son nez.
Monument aux morts du village d'Aucelon (26) réalisé, en plâtre semble-t-il, par un habitant de la commune, et conservé à la mairie (photos de Maurice Müller en notre présence en août 2004 )
Je dois ajouter, pour être complet, que cela ne m’empêche pas, par ailleurs, d' apprécier les travaux remarquables de Raymond Depardon (photographies et films)
(Françoise, Philippe, et Jean Charles)
Oui, Georges Brassens aurait pu lui dédier sa chanson.
Il a entrepris depuis trente ans de photographier tous les monuments aux morts de la guerre de 14-18, (celle que préférait Brassens), et il en a, à ce jour photographié plus de 20 000 !
Cette passion collectionneuse, il la doit a celle qu'il a toujours eu pour la photo ( je me souviens d'expos sur les zones ou friches industrielles, sur les lumières de sa ville, Saint Étienne), et ce week-end d'octobre 2014, il a répondu à une sollicitation d'amis, habitant aujourd'hui la Saône et Loire, pour une expo commémorant le centenaire du début de la "der des der".
Il a donc décidé de centrer son expo sur les monuments de la Saône et Loire,
comme les bas reliefs de Bourdelle à Montceau les mines
et d'une humanité remarquable.
Mais comment Raymond Depardon, a-t-il pu affirmer à la "Grande table" de "France Culture" au mois d'août dernier, que s'il avait fait appel au "peuple" pour son exposition aux Rencontres d'Arles sur les Monuments aux morts c'est parce qu'il "n'y avait pas en France quelqu'un qui ait photographié en dehors de sa région " ces monuments de mémoire ?
A cela Maurice répond "mais c'est pas la même chose !"
Respect ! Maurice ! mais quand même !
Pour terminer : pour voir ça, Depardon devra s’intéresser à la chose, au delà de son nez.
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