Oui, cette année là,...
de quelque côté que l'on regardât ...
...à l'horizon ou tout près de soi,
...rien ne semblait pouvoir échapper à l'emprise du froid intense,
qui emprisonnait toute autre sensation dans l'étreinte de ses barbelés glacés.
Même si cela nous donna alors accès, à une bien singulière et rare beauté, notre vie, toute en couleurs jusque là, semblait avoir fait place, définitivement, à un pétrifiant scénario d'un film de série "B", en noir et blanc.
A l'avers de toutes les récentes théories de réchauffement de la planète, on assistait bien à une lente et inexorable apocalypse glaciaire, qui faisait se rétrécir le monde.
Maginfique !!! Le froid est un artiste et Jean-François aussi. Martine James
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