(à lire avec un accent américain, très lent, celui des intros de beaucoup de western ! où il s'agit une fois sur deux d'un "retour" !)
Wouaip ! Après "une aussi longue absence" (plus d'un an) , j'étais donc de retour à Marcigny, qui affichait les 42 èmes Rencontres.
"Ouais !" j'm'disais, "mais qu'est-ce que tu viens encore foutre et chercher dans ce coin si éloigné (en distance et en esprit), des "marches" de Cannes, du strass, des paillettes, des "feux de la rampe", (comme aurait dit Charlot il y a plus longtemps encore).Mais j'me disais aussi, qu'on n'était pas obligé, dans la vie, de toujours avoir à se justifier et surtout à ses propres yeux, quand on décide de faire quelque chose, (dont on sent qu'on en a vraiment besoin) et que, en l’occurrence, ce qui peut même importer, c'est justement de découvrir, a posteriori, le pourquoi on était venu là, et qu'on pourrait bien vérifier, à la fin, si l'on avait bien fait de le faire, et pour ceux qui nous l'ont concocté, on a, en fait, bien fait de leur faire confiance, un peu comme s'ils nous avaient invité à une sorte de chasse au trésor.
! musique ! et générique !
(ça permet à celui qui écoutait, de croire qu'il a peut-être compris les phrases bien alambiquées de "notre héros").
(ça permet à celui qui écoutait, de croire qu'il a peut-être compris les phrases bien alambiquées de "notre héros").
Bon ! pour le lieu, cette année c'était retour aux sources ! Certains auraient peut -être préféré, faute de Lux, que ce soit .........................
mais, non pas question, fallait en profiter pour opérer un p'tit retour nostalgique ... au foyer, où c'que ça avait débuté, y'avait 42 ans ! et il y en a même, trèèèèès persuasifs,
qui ont réussi à obtenir que l'on repasse, en interlude, quelques bandes annonces avec un projecteur 16 mm , "pour le plaisir de l'entendre grésiller, voire cliqueter " : l'émotion fut à la hauteur des superlatifs des dites bandes,... à peine supportables !
Mais avant tout, nous avait-on dit, il ne fallait pas oublier de se rendre à l'expo d'Edgart, ce que je fis une nuit non sans quelque appréhension, les rues de Marcigny sous la pluie fleurtant avec certaines des ambiances de Denis Hopper, peu rassurantes
L'expo, elle, c'est avec le cinéma qu'elle dialoguait avec justesse : "atmosphères ! atmosphères !
mais, non pas question, fallait en profiter pour opérer un p'tit retour nostalgique ... au foyer, où c'que ça avait débuté, y'avait 42 ans ! et il y en a même, trèèèèès persuasifs,
qui ont réussi à obtenir que l'on repasse, en interlude, quelques bandes annonces avec un projecteur 16 mm , "pour le plaisir de l'entendre grésiller, voire cliqueter " : l'émotion fut à la hauteur des superlatifs des dites bandes,... à peine supportables !
Mais avant tout, nous avait-on dit, il ne fallait pas oublier de se rendre à l'expo d'Edgart, ce que je fis une nuit non sans quelque appréhension, les rues de Marcigny sous la pluie fleurtant avec certaines des ambiances de Denis Hopper, peu rassurantes
L'expo, elle, c'est avec le cinéma qu'elle dialoguait avec justesse : "atmosphères ! atmosphères !
révélant par une sorte d'hyper(irré)alisme les sentiments amoureux du peintre pour ce 7ème art
Mais enfin me direz vous ? vous nous parlez de peinture, c'est très gentil, mais alors quand donc allez vous nous parler de la programmation ci-né-ma-to-gra-phi-que ! de Marcigny 42 ?
Oh ! le temps qu'Olivier astique les objectifs et ça devrait bien pouvoir se faire, très bientôt.
musique !....et générique de fin !
A bientôt donc pour de nouveaux récits et aventures !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire