On est sauvé ! : Ça n'est pas une femme et il n'est pas noir mais ...

il est humble (plus que ses cardinaux, dont un noir ?)

il aime le foot

et il n'hésite pas à changer d’opticien

Alors Dieu soit loué !

Les cardinaux fermés à clés : Et s'ils élisaient une femme ?

et qu'elle soit noire ?

de quelle couleur devrait être la fumée ?

La Papesse représente la divine Isis qui est le Principe féminin supérieur du panthéon égyptien. Elle représente la Vierge Mère dans la Tradition chrétienne, Ishtar chez les babyloniens. Toutes les mythologies ont une femme supérieure aux autres dieux ou aux autres saints : dans le Tarot, c’est la Papesse. Alors que le Bateleur est debout, elle est assise. Elle a le visage fermé, recouvert d’un voile, elle est coiffée d’une tiare à trois rangées (ou deux rangées plus la lune dans le Wirth). Elle s’appuie de la main gauche sur le sphinx, elle a un pied posé sur un coussin vert. Le pied est noir. De sa main droite, elle entrouvre le livre de la connaissance, c’est l’ordinateur céleste, le livre des vies successives, le livre des karmas. De l’autre côté, elle s’appuie sur quelque chose qu’on ne voit pas, c’est comme le quatrième pied de la table du Bateleur, cela n’a pas à être vu. Elle est revêtue d’un immense manteau rouge, doublé de vert, qui laisse apercevoir sa robe bleue à hauteur du genou sur lequel est posé le livre. Dans le « Marseille », sa tiare dépasse le cadre, parce que ses pouvoirs dépassent le monde sensible. Dans sa main gauche, elle tient deux clés l’une d’or et l’autre d’argent. On aperçoit le sol à damiers noirs et blancs. Derrière elle, deux colonnes une rouge et une bleue avec un voile tendu entre les deux colonnes.

(La papesse du tarot (Revue 3ème millénaire)

(photo anonyme publiée sur internet après avoir tapé : photo de bonne soeur)

Les cardinaux fermés à clés : Et s'ils élisaient une femme ?

Ce ne serait pas la première fois !

JEANNE LA PAPESSE

Selon une légende très répandue à la Renaissance, la papesse Jeanne serait cette femme qui, montée sur le trône pontifical, aurait régné, sous le nom de Jean VIII, pendant un peu plus de vingt-cinq mois, de 855 à 858, entre les pontificats de Léon IV (847-855) et de Benoît III. Il a été clairement établi, depuis lors, que la vacance du siège entre Léon et Benoît (855-858) n'a été que de quelques semaines et que, par conséquent, cette histoire, malgré certaines vraisemblances, est une complète affabulation. Parmi les sources qui en ont été conservées, l'une des plus anciennes est le De septem donis Spiritus Sancti (« Les Sept Dons du Saint-Esprit »), d'un dominicain français du XIII^e siècle, Étienne de Bourbon, qui situe aux environs de 1100 l'élection de Jeanne. Dans cette narration détaillée, le héros (qu'on ne nomme pas) était connu comme un scribe de talent qui devint notaire de curie, puis fut élu pape ; mais il s'agissait en réalité d'une femme qui se trouvait enceinte au moment de l'élection ; elle accoucha au cours de la procession qui la conduisait au Latran ; elle fut donc immédiatement traînée hors de Rome et lapidée.

Dès la fin du XIII^e siècle, l'histoire connut un large succès. Ce sont les religieux qui contribuèrent le plus à la répandre au moyen notamment d'interpolations pratiquées dans les manuscrits du Chronicon pontificum et imperatorum (« Chronique des papes et des empereurs »), œuvre du dominicain polonais Martin de Troppau (XIII^e s.).

(d'après Encyclopedia Universalis)

Photo prise en l'Eglise Santa Maria du Trastevere à rome

Rome : on y était la semaine dernière : enquête sur la vraie raison du départ du pape

Mais enfin ! pourquoi avait il décidé de démissionner ?!

La bourse, (en haut à gauche de votre écran) semblait ne pas s'y intéresser vraiment

Le "cavaliere" continuait ses pitreries "nec mergitur" !

et la télé (de Berlusconi) continuait à donner le cancer, (cancro), gagnant pour la semaine,

ignorant superbement le désespoir des anges,

la pathétique quête populaire du "quand est-ce qu'on mange" ?,

ainsi que la question du mariage pour tous (même en doudoune ),

sans parler de celle de l'étonnante quadrature de certaines auréoles !

et de la vie après l'amore.

De colère, 

et face à une telle indifférence, nous décidâmes de porter l'affaire en carnaval, sur la piazza del popolo. 

Notre premier interlocuteur resta coi

et notre première interlocutrice bien en peine de se prononcer.

il fallait donc d'abord rechercher le bon interlocuteur : celui-ci ? un peu trop courtisé !

Celui là ? un peu jeune peut être  ?

le tigrou, manifestement un peu trop ...proche du sommeil !?

elle ? peut être un peu trop innocente ?

lui ? un peu trop "intello binaire" pour une telle question !

C'est elle !
 nous lança Tigrou II, elle seule, qui sait et qui pourra vous dire ! et il avait raison :

 "Eh ben moi je le sais, c'est parce que, mon papa y m'a dit, parce que chat pouvait plus durer comme ça, que Benoit il était trop vieux et ...qu'il allait sûrement dire beaucoup trop de bêtises et même qu'y saurait même plus faire des bulles, alors ça c'est quand même pas bien difficile, même moi j'y arrive !
"Maintenant il faut que je me repose" il a dit, sinon... "je vais devenir toc! toc!" ...y m'a dit mon papa... que le pape il avait dit "... (soupiiiiiiiiiiir !....)"