Ce regard me hante joyeusement depuis que je l'ai croisé aux rencontres photographiques de Chabeuil en septembre dernier.
Je crois que ce qui me fascine, c'est que j'y perçois comme une tristesse étonnée, qui sourit pourtant, comme pour s'en excuser.
Je me dis que c'est peut-être la foi qui illumine de modestie et de confiance ce beau visage, sinon ce serait la tristesse qui l'emporterait et la résignation qui s'afficherait.
En tous cas je ressens comme un cadeau cette beauté totale, celle d'une humanité éternelle.
Il y a plus de confiance et de profondeur dans le regard de cette femme que dans celui de son enfant et c'est cela que je trouve merveilleux et si paisible
RépondreSupprimerMerci ! une belle raison de plus d'aimer l'image ! et de fêter la richesse que peuvent contenir des regards qui se croisent.
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