En mars 2007,en Syrie, c'était la fête du nouvel an kurde, auquel nous avait invité Boris.
Sur la colline de Kobane, mon œil a croisé cette fillette qui mâchouillait le beau galon de sa coiffe ; je présenterai cette photo à l'expo d'avril à Saint Galmier : elle croise joliment les arabesques tissées de ses "fils", et représente aussi pour moi l'idée de la coquette fierté de ces lignées, trésors pour ce peuple kurde, qui n'en finit pas de se battre pour son identité.
Identité éclatée par les guerres tout au long de son histoire et sur de multiples territoires.
Il est certes plus glorieux d'honorer la beauté d'un enfant que celle de n'importe quel porteur d'armes. Très belle photo.
RépondreSupprimerje l'envoie à la Dianette. Bises
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