Au début, on ne sait pas trop ce que l'on voit, là haut, à la voute du Prieuré, puis peu à peu se dessinent des visages,
puis des corps, nus, là, à gauche du cintre
et là, à droite, des corps, nus eux aussi, mais plus torturés,
et si tous semblent apparaître au travers de minuscules nuages, on voit bien que ça n'est pas du fait du peintre, mais de la pique du maçon, chargé de les faire réapparaître sous la couche d'enduit, destinée, il y a plus de 100 ans, à les faire oublier.
quel dommage !
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