Giono nous a révélé (1) que "sa" joie était semblable à celle des "tilleuls fleuris ou autres arbres rayonnants".
J'ai la certitude que celle des lisboètes ne doit pouvoir se conjuguer que sur fond d"azulejos", ces innombrables carreaux de faïences, qui tapissent les murs,...
...escaladent les façades,
...s'affichent aux musées,
...et scandent leurs chants vernissés...
...à nos curiosités collectionneuses.
Ma joie à moi (2), elle me semble advenir le plus souvent d'une contemplation, gourmande, des matières, des couleurs, des lignes et à l'écoute de leurs stridences complices, qui m'irriguent comme du jus de vies, aux souffles embaumés, beautés dégustées, aspérités grattées, pentes glissées, gentillesses effleurées, cliquetis d'âmes libérées,...
...jusqu'à pleurer.
(2) jfb-mon.oeil
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