Il y a des écrans qui profitent de la nuit, il y a comme de banals mystères, éclatés, le froid qui givre le regard, la neige qui ouate les pas du promeneur, il y a comme un vieux rêve de Berlin, qui revient avec le souvenir d'hiver.
Il y a..., le froid des regards manqués ; il y a ... , les roulements du tram sur ses rails métalliques ; il y a ..., ce coup de fil que l'on croise et ces lumières qui t(e)intent ; il y a..., ce passé qui s'accroche ; il y a..., cette langue qui nasille son fado ; il y a ..., Joana, qui dit que Lisbonne, ... "c'est pas si beau que Porto .... !"
Il (ou ils ou elle(s)) enchante(nt) des murs, et autres lieux de la ville, de leurs oiseaux, fleurs, champignons et papillons, bien que beaucoup de passants semblent les ignorer voire les dédaigner.
les humains y apparaissent aussi, mais souvent "subalternes", parfois méta(ni)morphosés